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Les dix commandements paradoxaux 3 mars, 2013

Posté par hiram3330 dans : Apports , trackback

Les dix commandements paradoxaux dans Apports paradox--300x287

 

1. Les gens sont déraisonnables, illogiques et égocentriques.

Aimez-les quand même.

2. Si vous êtes désintéressé, les gens vous prêteront des motifs égoïstes et calculateurs.

Soyez désintéressé quand même.

3. Si vous réussissez, vous gagnerez de faux amis et de vrais ennemis.

Réussissez quand même.

4. Le bien que vous faites aujourd’hui sera oublié demain.

Faites le bien quand même.

5. L’honnêteté et la franchise vous rendent vulnérable.

Soyez honnête et franc quand même.

6. Ceux qui voient grand peuvent être anéantis par les esprits les plus mesquins.

Voyez grand quand même.

7. Les gens aiment les petites gens, mais préfèrent suivre les puissants.

Luttez pour les petites gens quand même.

8. Ce que vous avez mis des années à bâtir peut être détruit du jour au lendemain.

Bâtissez quand même.

9. Les gens ont besoin d’être secourus, mais certains se retourneront contre vous

si vous les aidez.

Aidez-les quand même.

10. Si vous donnez au monde le meilleur de vous-même,

vous risquez d’y laisser des plumes.

Donnez le meilleur quand même.

Si vous suivez les Dix commandements paradoxaux, vous serez libre.

Ces principes ne relèvent pas du pessimisme.

Dans ce monde de folie, ils figurent une sorte de « déclaration d’indépendance ».

Affichez-les comme un rappel permanent de cette prise de position.

À compter de ce jour, faites ce qui vous semble juste et bon, parce que cela revêt désormais un sens.

Dès lors que vous agissez selon vos valeurs, que vous pouvez donner une signification à votre existence

sans attendre d’approbation extérieure, vous êtes libre.

Libre d’agir en fonction de votre conscience,

que les autres vous apprécient ou non.

Libre d’être qui vous êtes vraiment.

Libre de remplir la mission à laquelle vous êtes destiné.

Libre de mener une vie cohérente dans un monde absurde.

Et cette liberté vous procurera le bonheur le plus profond

que vous ayez jamais connu.

Source: Kent M. Keith

 paradoxe- dans Apports

mars 6013

Commentaires»

  1. Courber pour renaître
    et être.
    Fléchir pour grandir
    et faire grandir.
    Aimer et persévérer
    en corps et encore.
    Fraternité

    Répondre

  2. Non, j ai bien repris le mot de Guillaume, phqnoariaue, parce qu aussi j aime la poe9sie d Apollinaire (la chanson du Mal Aime9) : je suis le Pharaon d Egypte, sa soeur e9pouse, son arme9e, si tu n es pas l amour unique

    Répondre

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