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C’est Noël tous les jours 24 décembre, 2013

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C’est Noël tous les jours

C’est Noël chaque fois qu’on essuie une larme dans les yeux d’un enfant
C’est Noël chaque fois qu’on dépose les armes et chaque fois qu’on s’entend
C’est Noël chaque fois qu’on arrête une guerre et qu’on ouvre les mains
C’est Noël chaque fois qu’on force la misère à reculer plus loin
C’est Noël sur la terre chaque jour
Car Noël, mon frère, c’est l’Amour

C’est Noël quand nos cœurs oubliant les offenses sont vraiment fraternels
C’est Noël quand enfin se lève l’espérance d’un amour plus réel
C’est Noël quand soudain se taisent les mensonges faisant place au bonheur
C’est Noël dans les yeux du pauvre qu’on visite sur son lit d’hôpital
C’est Noël dans le cœur de tous ceux qu’on invite pour un bonheur normal
C’est Noël dans les mains de celui qui partage aujourd’hui notre pain
C’est Noël quand le gueux oublie tous les outrages et ne sent plus sa faim
C’est Noël sur la terre chaque jour
Car Noël, mon frère, c’est l’Amour

Camille Labrecque

Merci Annie de ce partage, et de nous faire connaître cet auteur …

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Voeux 6014

Posté par hiram3330 dans : Billevesees & coquecigrues , ajouter un commentaire

 

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Que cette période de solstice d’hiver

et que cette année nouvelle 6014

soit

pour vous,

ceux qui vous sont chers,

ceux qui vous sont proches

celle

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de la Beauté pour votre quotidien

de la Force pour votre santé

de la Sagesse que vous répandrez

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Rythme 15 décembre, 2013

Posté par hiram3330 dans : Billevesees & coquecigrues , ajouter un commentaire

Rythme

rythme

Si j’en crois la définition de l’encyclopédie participative, il n’est pas simple que d’appréhender globalement la signification de ce mot un peu curieux ou un « t » est inséré entre un « y » et un « h », et dont les deux syllabes se heurtent et s’aspirent …

Pourtant, pourtant le « rythme » n’est-il pas associé, d’une manière ou d’une autre, d’une manière et d’une autre, à la Vie ?

Première réaction : la musique !

Oui la musique est rythme, et de multiples manières ; de celles-ci découle la danse, les danses, et de multiples façons ; de celles-ci découle le vêtement, et de diverses sortes ; et … Oui, pour nous Musique et Rythme sont intimement liés.

En mêlant harmonieusement musique, danse, vêture, et si tu as du bol te voilà, veinard, en plein carnaval de Rio ! Du calme, c’est un exemple subliminal et une potentialité de tes songes, il existent, grâce à Dieu, beaucoup d’autres hypothèses plus proches de ta réalité …

Tu as bien saisi là le sens, un des sens, de rythme.

Le rythme c’est la Vie lorsqu’il est Harmonieux, il va bien au-delà de ta conscience consciente … Il va atteindre ton moi, ton toi, ton sur-moi, ton sur-toi, ton autre toi, tes différents moi, bref il va t’inonder et saturer, en quelque sorte, ce que tu penses être, ce que tu es surtout.

Te voilà « tout chose » soudainement.

Tu es prêt à tendre l’oreille en quête du rythme, des rythmes.

Dans le Silence que tu souhaites créer pour mieux être attentif, tu t’aperçois de deux réalités étranges :

Le Silence n’existe pas !  Et si je ne m’abuse la création est issue du Verbe …

Ton Silence intérieur est bruyant d’une cacophonie apparente où s’entrechoquent, voluptueusement,  les « humeurs » de ton corps physique …

La mécanique humaine, toute huilée qu’elle puisse-t-être, reste néanmoins quelque peu sonore …

Le Rythme transcende « Tout » !

Le Rythme c’est la Vie …

En effet le Souffle Vital est perceptible partout et tout le temps, curieusement car ne dit-on pas que l’Espace et le Temps sont des illusions ?

Ce Souffle tu le perçois à chacune de tes inspirs, à chaque expir, à chaque ventilation des tes cavités pulmonaires car l’Air c’est la Vie !

Ce Souffle tu le perçois à chaque ressac de la mer, à chaque marée, à chaque glougloutement d’un ru ou d’un fleuve gigantesque car l’Eau c’est la Vie !

Ce souffle tu le perçois à chaque plissement de la terre, ta Mère Gé, au delà des collines et des montagnes qui balisent ton quotidien car la Terre c’est la Vie !

Ce souffle tu le perçois à chaque éclair, à chaque flamme qui perce la ténèbres et découvre tes chemins car le Feu c’est la Vie !

Ce souffle, à l’instar des chinois, tu le perçois dans ce bois qui s’élance sous la poussée de la sève de la Terre à l’Azur car le Bois c’est la Vie !

Te voilà, homme/femme, androgyne en quête, au cœur de la Vie quand tu entends et accompagnes le Rythme qui est le tien au sein des autres qui font la Vie, du plus profond de l’Océan, et au plus lointain du Cosmos, de ton cœur de chair qui pompe ton sang jusqu’au cœur des galaxies qui chantent la Vie dans l’infinitude de l’immensité incommensurable …

Tout ce qui est en bas est comme ce qui est en haut …

Rythme ne peut être qu’Harmonie car la mathématique qu’il dissimule est parfaite dans son manteau de parure qui paraît couvrir une réalité de perfection.

Nous voici et voilà proche du Centre de l’Idée, de l’Un du Tout, de notre éclat intime qui est l’âme de notre vie, de la Vie.

Le Souffle vient, tel un zéphyr, caresse cette timide braise pour l’embraser et l’embrasser dans une volute d’étincelles, tels des lutins rieurs, vont s’essayer à ressembler aux étoiles du ciel, qui sont les étoiles du ciel …

Tu es … essoufflé, esbaudi, abasourdi ce ces découvertes qui n’en sont qu’une … et voici que le rythme qui te semblait que musique, est devenu fondamentalement une base de ta Vie que tu ignorais.

Tes pensées tourbillonnent, fusent et se fondent dans un rythme d’enfer, dans un rythme de paradis, dans un rythme qui est tien … L’Harmonie s’organise dans les ténèbres de ton esprit où luit une minuscule lumière, car les ténèbres n’existent pas sans lumière …

Ordo ab chaos !

Rythme & Harmonie !

Unicité dans le Tout !

Tu progresses …

Qu’un mot, un terme (infini étrangement), un concept celé au sein de l’illusion humaine explose en un feu d’artifice(s) pour créer un Arc-en-Ciel, n’est-ce point ici et là, maintenant, que « Rythme » déploie son infinitude transcendant Espace-Temps ?

Ainsi nait l’Harmonie …

Alors, pour pouvoir apprécier, déguster cette découverte qui gisait face à tes yeux aveugles, lèves ton regard vers le Haut, qui est comme le Bas, et discernes dans la nuée de la voûte étoilée un autre regard, souriant et complice, qui t’attendait depuis … toujours …

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Chris

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Coucou ! 1 décembre, 2013

Posté par hiram3330 dans : Billevesees & coquecigrues , ajouter un commentaire

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Coucou !

Cette syllabe doublée, tel un bégaiement d’ivrogne, vient fendre ma torpeur due à une consommation assumée de produits biologiques issus de la graine de cacao.

Qu’est-ce ? Qu’est-ce donc que ce son qui se fait écho, économiquement il est vrai, et vient troubler ma méditation militante sur les pays en voie(s) de développement …

Ma paupière droite tressaute tandis que la gauche découvre mon iris embrumé, encore, par la saveur savoureuse de cette pâte noire à 72 %.

Qui se permet ainsi de perturber ma vision anti-raciste d’une consommation équilibrée ?

D’où provient cette étrange double tonalité qui semble ironiser sur ma capacité de compréhension au premier son ; sont-ce des lutins taquins jaloux de mon engouement militant ? Je ne sais !

Mon iris gauche dés-embrumé me permet d’ouvrir ma seconde paupière, la droite si tu suis bien le déroulement de la scène reconstituée comme un suprême de poulet d’un faste-foud …

Me voilà en train (à l’heure ! Si, si ça existe encore un peu ..) d’aiguiser mon regard de lynx pour quérir la source de ce curieux double-son ayant clos mes pensées de soutien à … (oui je me répèterai pas …).

Oui je sais .. ouvrir les yeux pour mieux entendre d’où provient cette répétition sonore est un peu abusif, l’ouïe seule devrait suffire.

Peu importe, plus exporte comme pour la fève succulente lorsqu’elle est bien préparée .. mais ce n’est pas d’icelle qui est l’objet de mon questionnement, présentement !

Cou-cou !

Enfin je l’écrit comme ça mais est-ce l’orthographe appropriée ? Et la propriété n’est-ce point le vol ?

Qui sait s’il ne s’agit plutôt de Kou-Kou, de coup-coup, voire de coud-coud et pire encore …

L’image volante d’un oiseau connu sous cette appellation traverse subitement le champs (en friche je sais) de mon intellect …

Coucou n’est pas bon jour, bien au contraire s’il s’agit du volatile qui squatte, après destruction des œufs, le nid d’autrui …

Mais je reviens à mes moutons (trouvés sous le lit qui se planquent quand je tente de les compter …) et te dis … CouCou dans la cascade d’un collier de rires … car l’humour doit rester présent, et même cadeau !

C’est peut être un mot maudit ce coucou car j’ai remarqué que lorsque l’on veut étrangler son voisin on ne le prononce pas ainsi, on use d’un autre bégaiement complice qui vient le dissimuler : je lui serre le KiKi !!! Non restes polis, même si je sais ce que les polis sont, là je suis sérieux et pudique .. CouCou est peut être létal (nonnnnnnnn pas l’étal ! Tu es agaçant à avoir l’esprit – ce qui en tient lieu – biscornu (soit cornu répété ! et toc !).

Bref je ne sais plus où en j’en suis et lance, désespérément :  » CouCou, ya quelqu’un ?  » dans la solitude sans écho de cet écran fluctuant au gré des marées de pixels ….

Mais le plus surprenant, pour moi, est d’entendre parfois, réveillé ou assoupi, ce mot sans sens résonner dans le vide de mon crâne, que je sois seul ou dans une foule étouffante … « CouCou » résonne en moi comme le big bang de Big Ben lorsque c’est l’heure … et que nous avons l’âge ? Qu’est-ce donc que ce phénomène déroutant ..

Ce double son m’interpelle comme un flic sur la chaussée.

Je n’arrive pas à en discerner l’orthographe, je n’arrive pas à en discerner l’image/son, je n’arrive pas à en discerner la source.

Un frisson quelquefois glisse le long de ma colonne vertébrale lorsque la vibration de ce terme atteint, atteint quoi au fait ?

Ce son est sans son, ce son n’est pas dalila, ce son semble silencieux, si lent cieux qu’il heurte en douceur ma purée de neurones affolés qui se cognent dans mon crâne.

Nom de nom (oui restons correct et politico-religieusement correct qui plus est !) j’ai beau (comme moi) caresser l’espace qui m’entoure de mon regard de lynx, je ne perçois pas d’où il naît ce son là !

Suis je fol ?

Suis je sujet à un mauvais sort ?

Suis je l’objet d’une malédiction ?

Suis je .. ?

Brisons là et raisonnons, non comme une cloche mais en cartésien cynique, voire sinoque, en examinant à la loupe l’ensemble vide des éléments fluctuant de cette situation aussi absurde que surprenante.

Ce CouCou (de forêt noire ?) n’est ouïe que de moi paraît-il (sans paraitre d’ailleurs) ; ce KouKou n’est pas un signe (ni un cygne) visuellement visible dans l’espace non virtuel que je hante de bon pas ; ce CoupCoup ne frappe pas spécialement à minuit, ni à midi me dit-on.

Alors, alors mais c’est bien sûr, ce « CouKou » ci m’est personnel, uniquement attaché à ma personne (le veinard) et ne con-cerne que Moi !

Je suis en communication unique, exclusive, personnelle avec l’énonciateur de ce double son !

Il ne s’adresse (sans passer par la poste, ni par la case départ) qu’à Moi !

Je suis son préféré, je suis son chouchou (tiens on double encore là), je suis …. à son Image puisqu’il ne côse qu’à Moi !

Vingt Dieux, vain Dieu, vin dieu ..!

Me voilà, me voici béni d’iceux !

Cette curieuse sonorité onomatopée est un lien direct, privilégié entre Moi et Moi … Mon « criquet », mon interlocuteur miroir, le souffle de mon âme,  la somme de mes passés … l’esquisse de mon demain … mon Ka, mon Ba, et j’en passe.

Ainsi donc je suis Lui en étant Moi, mon moi est une parcelle de Lui, je suis l’Un du Tout, je suis le Tout de l’Un.

Bon j’arrête tu vas croire que j’ai user de produits …. oui ceux dont tu uses toi !

Que nenni point du tout !

Je suis en extase devant ma découverte, et sans frilosité avec elle ….. Cosmique est ma vue, cosmogoniques mes pensées, comique mon ébahissement … Je suis ce que je suis !

Bien ceci posé j’en déduis (sans rien ôter) que ce « coucou » là n’est pas un squatter mais bien plus simplement le reflet de ce que je suis, que je voudrai être, que j’aimerai être, que je serai .. peut être.

Le murmure de ma conscience qui me susurre non point de mots doux, mais des mots percutant ma conscience éveillée pour m’entraîner vers celle qui sommeille en moi (non ! ce n’est pas un goret qui sommeille en moi !).

Les idées s’enchaînent librement à la vitesse d’un vieux coucou … les éclairs chocolatés laissent place à la lumière Led, la fumée est devenue blanche comme le cygne du lac gelé, l’histoire se déroule en tous sens, sans aucun sens interdit … le tourbillon s’accentue dans la compréhension du mot, du verbe, de l’idée, du centre de l’idée …

Cette double syllabe n’est qu’une part de moi-même, qui est mienne comme une parcelle de Tout, qui me hèle et me taraude en me questionnant sur moi-même …

Coucou …

J’ai compris …

Irrésistiblement mon regard fixé sur l’intérieur, là où le coucou a fait son nid, bien avant ma naissance … Mon regard s’échappe enfin pour aller  quérir au sein de l’Azur, puis de la voie lactée au sein de la voûte étoile, cet autre regard évadé qui me sourit … complice : j’aime.

Chris

décembre 6013

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