Lumière 26 octobre, 2015
Posté par hiram3330 dans : Billevesees & coquecigrues , ajouter un commentaireLumière …
Que la Lumière soit, et la Lumière fut !
Ainsi découvre-t-on, très partiellement, ce phénomène si « naturel » et si « incompréhensible » au premier abord. Je m’interroge, je nous interroge sur cette Lumière qui éclaire nos jours, parfois même nos pas.
Je sais, je t’entends d’ici m’expliquer savantement que la Lumière provient du Soleil, de cet astre atomique en fusion et explosion permanentes, du Dieu Râ, du Dieu Rê, de l’Eternel, de Yahvé, bref d’une certaine manière « d’en haut ».
Bon je t’ai entendu, et alors ?
Précise ta pensée, ce qui en tien lieu (est-ce une « lumière » ?), pour m’expliquer simplement de quoi il ressort hors le jour suivant/précédant la nuit, hors le feu que l’homme à découvert puis soi-disant maîtrisé, hors l’ampoule « électrique » allumée (mais pas folle) qui perce nos nuits et nos craintes (là c’est une option non obligatoire).
Explique moi donc ce qu’est la Lumière, pour toi, pour moi, pour nous ? Conviens que la difficulté assombrit soudainement ta (tes) certitude(s) en la matière … D’ailleurs, la Lumière est-elle matière ? Voilà une question qu’elle est bonne non ?
Lumière est Vibration(s), Vibration(s) est/sont Energie … Energie est partout, est Tout …..
Les lueurs que tu pouvais avoir sur la Lumière clignotent en mode danger maintenant … te voilà dans de beaux draps nocturnes et diurnes. Quelle idée saugrenue que d’être venu, en catimini, espincher ces lignes au titre racoleur qui perçait la brume de ta curiosité comme un phare au sein d’une tempête vers l’île de Sein.
Que la Lumière soit !
J’en déduis (non pas la TVA) qu’au commencement Elle n’était point … Or donc au commencement du début régnait la Ténèbre, or donc bis ce commencement enténébré n’était alors pas visible à un regard humain, or donc ter au début de ce commencement qui est de facto (oui je cause la latin) une émanation de Dieu la Lumière n’existait pas, du moins pas de manière visible à nos yeux humains.
Ce Principe Premier (Dieu pour faire simple) était (est encore me semble-t-il) « Tout », car « Rien » n’existait pas (n’existe toujours pas, si si si je te l’affirme). Oui je vois sans regarder que tu bois la tasse en t’étouffant dans tes propres (j’espère) méandres de ta pensée confuse et entartrée.
Que la Lumière soit …
Soit, considérons qu’elle « est », et donc que ma pensée ainsi s’éclaircit par cet apport attendu au-delà de la noirceur sombre de la nuit innée qui se déchire sous l’assaut des photons, neutrons, et autres babioles de la physique Euclidienne.
Hourra, Hosanna, Eurêka …!
Naissance d’une aube, d’une aurore, des prémisses d’un jour premier.
Tout est là !
Les opposés complémentaires s’épanouissent enfin et sans honte du lendemain qui suivra l’instant « I » de cette accouchement qui n’en n’est pas « un » dans la mesure où l’émanation d’Un Tout est entière et indissociable dans l’Un du Tout. Suis-tu ou essuies-tu la suée provenant de ton neurone surchauffé ?
Bref, Lumière il y a dès l’Instant où je prononce son Nom, et toc !
Oui, je suis « Créateur », certes partiel et par délégation, mais Créateur tout de même, et re-toc !
Etant une parcelle du Tout, et donc par induction et émanation le Tout ou partie (et revenu), pourquoi ne serais-je point l’image de Lui qui Luit dans les ténèbres et éclaire quelques fois mes pensées (créatrices à l’instar des siennes) lorsque mes pas progressent en avant, et repoussent diurnement l’espace nocturne qui craint d’être dissout, effacé, avalé.
Vaseux tu es ! Egaré dans les limbes déchirées de ta pensées unique en lambeaux ! Perdu dans le labyrinthe de la complexité des attaques de ton « ego » ! Epuisé par la surchauffe de ton neurone habituellement paresseux ! Hagard ! Désorienté (sans être occidentalisé) ! Noyé sous les lames de larmes des nuages de ton hébétude ! Craintif devant l’image inversé que te jette au visage le miroir ricanant qui te fixe !
Oui, tout ça, et Tout ça ce n’est pas rien, y compris pour un vaurien qui ne veau pas cher meurtri qu’il est par le merlin (et pas l’enchanteur ici) qui le soule et l’assomme sans rémission, ni état d’âme.
Inutile de te tourner, comme un Derviche, vers l’EDF et ERDF (charbon, gaz ou nucléaire) qui rigolent de concert et consort devant le pantin (près de Paris) qui tu deviens en tourbillonnant pris de vertige soudainement.
Qui que ce soit !
Que la Lumière soit !!
Qu’il en soit ainsi !!!
Voilà un crédo lumineux comme le sourire qui me fixe quand je tourne mon regard vers la Voûte Etoilée, dans la Voie Lactée là où règne cette Lumière qui me suffit et me ravit …
Chris
octobre 6015