navigation

Digression … L’encre de tes yeux … 20 octobre, 2016

Posté par hiram3330 dans : Digressions , ajouter un commentaire

Image de prévisualisation YouTube

Qui sommes nous ? 16 octobre, 2016

Posté par hiram3330 dans : Apports , ajouter un commentaire
19 mars 2014
Qui sommes -nous ?
16215_307016472740132_1384842592_n

Nous sommes une bombe avec un compte à rebours….
Dès notre naissance, nous sommes déjà programmés pour mourir….
Nous luttons toute notre vie pour enfin mourir et nous marquons notre passage sur terre en laissant quelque chose derrière nous…
Nous tentons de ne pas être oubliés…
Nous avons du mal à partir en nous disant que notre passage, n’aura marqué personne, que personne ne se souviendra de nous comme si cela n’aura servi à rien……
Nous espérons être une âme éternelle…
Il nous faut projeter vers un autre ailleurs, plutôt qu’un néant…
Nous nous faisons croire qu’il faut vivre pleinement pour ne rien avoir à regretter….
Lorsque nous prenons conscience que la mort est là, qu’elle guette, nous voulons devenir un homme ou une femme de désir avec des plaisirs les plus intenses comme pour repousser ou conjurer le sort….
A vingt ans, nous nous sentons invincible tout puissant, sans limite, sans barrière, nous défions parfois la mort…

A quarante ans, nous prenons conscience de nos faiblesses, du fait que nous sommes des mortels….
Nous nous posons de nombreuses questions sur la mort, quand viendra t-elle nous chercher, dans quelles circonstances, pourquoi, mais surtout comment, avec qui nous voudrions bien mourir, le lieux, l’heure, la souffrance sera t-elle au rendez-vous…
Parfois, lors de la mort nous sommes conscient de notre dégradation physique et parfois lorsque la psyché est touchée par une maladie alors la conscience est plus ou moins atténuée….
Elle reste toujours une très grande souffrance pour les proches….
Cependant, pas pour toutes les nationalités car pour certaines cultures c’est un moment de célébration, de fête, de joie intense…
Ils célèbrent le nouvel état du défunt, le nouveau voyage de la personne vers un horizon et un aspect différent…

Là ou la forme et l’informe se confondent, se mêlent et s’entrecroisent formant un tout dans une harmonisation de joie, paix et sagesse…
Oh, le cris est révélateur de libération, libération face à des injustices, face à une mort qui ne peut être supportée…
La médecine a deux vitesses fait froid dans le dos, elle déborde d’injustice….
C’est très effrayant de connaître la mort d’une personne qui ignore elle-même que son destin est proche…

Certains ressentiront cela comme une toute puissance, de savoir le destin d’un autre, comme un sentiment de supériorité mais pour moi j’ai froid dans le dos, j’ai mal, j’ai mal de voir à quel point ce n’est pas juste…
Le déni, le refus, l’envie par-dessus tout de prolonger la vie….
Accompagner c’est avoir un regard subjectif face à l’autre, mais comment, comment peut-on avoir autant de recul, perdre un frère ou une sœur humaine, c’est perdre une partie de nous, une partie de soi…
Nous sommes de la même composante, de la même matière, ce n’est pas parce que nous ne sommes pas soudés comme des siamois que nous ne sommes pas tous frères et sœurs de sang, d’un même sang, d’une même race….
Écrire les mémoires qu’une personne pour garder, pour conserver une partie de son esprit après la mort, histoire de la faire encore et encore vivre même après son départ reste également éphémère….
Car au bout, de deux générations l’histoire disparaît dans une benne à ordure, photo, souvenirs….
Quel triste sort….

Mais peut-on en vouloir aux héritiers qui ne connaissent même plus la personne qui était un des membres de leur famille, éloigné par de nombreuses décennies, portant cet héritage tel un fardeau de mémoire, ne portons jamais de jugements et encore moins des jugements de valeurs….
Le passage s’efface, tout est éphémère et ne dure que le temps d’une vie qui nous paraît parfois plus ou moins longue lorsque l’on regarde devant mais courte lorsque l’on se souvient d’un passé encore frais dans nos têtes comme s’il s’agissait d’hier….

Mon Dieu, que la vie est étrange….

L’adéquation de la vie peut être telle un jeu, un labyrinthe…
Le temps est variable pour nous sur terre, il paraît long mais pour l’invisible, il n’est que millième de fraction de seconde, le temps de vie d’une personne….
La vie est ce que l’on veut bien en faire, seulement nous avons tous une mission à accomplir plus ou moins dure à réaliser…
Nous sommes notre propre ennemi car nous devons lutter contre nous mêmes pour certaines choses auxquelles nous ne devons pas céder car nous nous obligerions à revenir sur terre et repartir de zéro….

Et c’est en cela que nous finirons par trouver une forme d’équilibre car lorsque la lutte reste derrière soit nous finissons par un lâcher prise enfin, nous respirons, mais nous savons que cela reste dans un mouchoir au fond d’un tiroir que tôt ou tard, il ressortira pour nous mettre en face de notre miroir et pour arriver à résoudre une bonne fois pour toutes les erreurs d’un passé qui nous semblait lointain mais tant que nous avons pas jeté ce mouchoir, il est là, et lorsque l’histoire ressort, tant que le deuil n’a pu se faire et bien nous nous apercevons qu’en réalité cette histoire fait ressortir la fraîcheur de notre vécu d’antan….

Lorsque le soleil est en berne et que la lune apparaît, il y a le voile de l’oubli qui refait toujours surface mais lorsque la lune disparaît et que le soleil reprend de sa puissance avec force et vigueur la beauté de la vie reprend son cours comme si elle reprenait là ou la vie était suspendue la veille. Mais pourtant une autre journée réapparaît avec une certaine monotonie, des habitudes quotidiennes mais le jeu de cartes change certains détails, certains éléments et cela fait toute la différence qui provoquera des joies ou des chagrins, des détails qui paraissent insignifiant et qui pourtant prennent toute leur importance car d’une journée à l’autre cela changera toute la donne….

Allégez vos jours, allégez vos peines, vos mélancolies ou vos souffrances car plus la vie est simple, plus elle devient belle et pleine de charme….

Que la joie soit dans vos cœurs et que l’éveil soit sur votre chemin….

Merci à Rose Heqat

538471_10150989574676504_1301366721_n

Digression … » Faites l’Humour pas la gueule 14 octobre, 2016

Posté par hiram3330 dans : Digressions , ajouter un commentaire

Image de prévisualisation YouTube

J’entends mal …. 10 octobre, 2016

Posté par hiram3330 dans : Billevesees & coquecigrues , ajouter un commentaire

J’entends mal ….

surdite

Oui, comme beaucoup, comme trop j’entends mal !

Est-ce l’âge qui vient ainsi rogner mon audition ?

Sont-ce les sons qui ont évolués alors que moi je stagnais les pieds embourbés dans le vacarme assourdissant d’une vie « TGV », d’une vie heurtée, d’une vie menant au silence … éternel ….. ?

Non, non je ne me plains pas, et de toute façon qui pourrait m’entendre dans ce monde de sourds, voire de sourds-dingues et je pèse mes mots, au travers de la ouate qui emplie mes conduits auditifs.

Handicapé suis-je donc devenu ? Malentendant avant l’extinction totale de ces vibrations sonores que je perçois encore, dans un champ plus restreint il est vrai.

Mais suis-je le seul dans ce cas ?

Que nenni point du tout je te l’accorde (comme dirait le facteur de piano), mais dois-je avouer qu’en l’occurrence c’est de mon cas personnel à moi que je me réfère, et qui me turlupine de plus en plus dans les nuages confus des sonorités qui se mélangent sans pudeur.

Curieusement je raisonne toujours, mais mes paroles glissent et surfent seules hors de mon écoute diminuée. Ne souris pas, es-tu toi sûr de ta bonne oreille ? Sinon de ton écoute …. matinée d’une compréhension des pensées sous-tendues par les sons qui vibrent et heurtent les conduits auditifs lardé de cérumen que tu n’entretiens même pas.

Tu penses : « égoïste » et je m’en moque car je n’ouïs point tes pensées, et me moque de tes éventuelles appréciations qui rebondissent sur mes pavillons en berne …

Et d’ailleurs toi-même, es tu sûr d’apprécier les sons qui viennent couler dans tes conduits auditifs lardés de cérumen par ta négligence à nettoyer tes diverses tuyauteries .. Oui je l’ai dit ! Mais tu ne l’as pas entendu !

Curieux cette propension de notre cervelle à effectuer un tri, pour ne pas dire une censure, sur ces sonorités variées et diverses véhiculant des mots et donc des idées, notions et concepts.

Je vois bien que tout cela t’indiffère, muré que tu es dans le vacarme de ta solitude acceptée et enivrante.

Handicap ?

Pas sûr !

Regardes Beethoven …

Ce musicien, sourd, continuât ses compositions artistiques en lisant dans son monde sans son (et Dalila, oui je sais elle est facile) les portées lourdes de notes, de croches et même de « silences ». N’est-ce pas un comble que de lire les sons ?

J’entends mal ….

Je me suis interrogé, et les murmures qui m’ont répondu m’ont susurrés, ironiques, que ma pseudo surdité provenait du boyau de la tête congestionné par l’étranglement sournois de mon ego.

Bigre et saperlipopette !!!

Qu’ouïe-je là, ici, et là-bas dans les limbes déchirées de ma désillusion fêlée .. un peu comme moi en ce moment M, en cet instant I, face au miroir embué de ma stupéfaction hypocrite.

Je pousserais bien une gueulante si je ne craignais de m’irriter les pavillons réceptacles des sons !

Cool, zen et serein … me chuchotais-je dans un soupir rouillé par la sueur de mon angoisse naissante.

Mais au fait, qu’entends-je par j’entends mal ?

J’entends mâle ? J’entends malle ? J’en tends mal ?

Je doute sur ce que je puis entendre en entendant mal … Comme un lambeau de surdité péguant venant obscurcir la vision édénique découlant d’un prurit d’otite en devenir.

Bon sang, mais c’est bien sûr ! Comme disait l’inspecteur télévisuel « Bourrel » des cinq dernières minutes de ma jeunesse de jadis …

J’ai mal entendu le « j’entends mal » !!!

Il ne s’agit point d’une notion de sonorité, mais d’une notion de compréhension si je ne m’abuse (oui je sais aussi causer mieux parfois), et la compréhension (en en seul mot car phonétiquement il pourrait y avoir ambiguïté) relève d’un autre domaine que du son unique.

Voilà tu as saisi, tu as pigé, tu as compris ?

Ouf, je me sens (sans l’odorat réceptacle de fragrances diverses) soulagé (pas sous l’A.G. – révolutionnaire qui plus est) d’avoir assimilé le concept (lui aussi en un mot unique) sous-tendu par ces trois mots associés heurtant les neurones (oui il paraît que j’en aurais deux, aussi ….) soudainement illuminés (comme moi parfois) d’une perception (non imposable) quasi extatique d’une transcendance omniprésente en ma cervelle grisâtre.   

Restons simple et d’une objectivité lumineuse : quand j’entends mal c’est que toi tu t’exprimes mal ! Et toc !! Voilà une Vérité vraie, j’irai même jusqu’à dire (puisque je le pense) La Vérité Vraie !!!

Ne ricane pas .. cela ne sert à que dalle .. et puis, et puis je suis là pour t’aider et t’assister dans ton dur labeur, quasi impossible reconnaissons le tous les deux, de progression intellectuelle, sociale et morale.

Ne t’inquiètes pas, tu n’es pas le seul dans ce triste cas d’infériorité avérée.

Je suis là, et même ici bas pour te maintenir les naseaux hors du bourbier de ton existence frustre (et il en faut des comme toi !) afin que tu puisses également jouer un rôle dans notre société sociétale ayant besoin de bourrins et de … aussi !

Enfin, grâce à Moi tu pourras, non pas t’en sortir, là n’est pas ta destinée, mais être utile à la collectivité que tu sers, que tu serf, que tu serres comme les …… itou lorsque je suis contraint (sans Sncf) de gronder (tel l’orage dévastateur) devant ta stupidité congénitale (là j’avoue que les deux mots pourraient convenir … eux aussi.).

Mais nous n’en somme (additionnelle) pas encore là !

En lieu et place de ton visage au rictus primaire, je préfère et de loin, comme de près, aller quérir au sein du cosmos de la voûte étoilée ce regard narquois qui semble me toiser, Moi !!!

Mais j’aime quand même …

Chris

octobre 6016

yeux y

Rappelle-Toi… 4 octobre, 2016

Posté par hiram3330 dans : Digressions , ajouter un commentaire
Rappelle-toi
souvenir1
Que si un rien fait souffrir
Un rien aussi fait plaisir…
Que tu peux être semeur
D’optimisme, de courage, de confiance…
Que ta bonne humeur
Peut égayer la vie des autres…
Que tu peux, en tout temps,
Dire un mot aimable…
Que ton sourire non seulement t’enjolive,
Mais qu’il embellit
L’existence de ceux qui t’approchent…
Que tu as des mains
Pour donner
Et un coeur
Pour pardonner…
Thomas Merton
(1915-1968)
souvenir

La Rousse 3 octobre, 2016

Posté par hiram3330 dans : Billevesees & coquecigrues , ajouter un commentaire

 

La Rousse .

rousse

Non pas le fameux pavé « Larousse », ni l’argotique (art gothique – argot -ique)  »La Rousse » qui désignait la maréchaussée à la fin du millénaire précédant … Ni d’ailleurs le féminin du masculin « le Rouquin » dissimulant lui un liquide fruitée, mais fermenté …

Non tout simplement « La Rousse » teinte du poil, accompagnant le plus souvent des « tâches de rousseur » … Bref celle qui attire, aussi, notre regard par le flamboiement plus ou moins accentué de sa chevelure, dans un premier temps …

Or donc c’est la troisième « teinte capillaire » naturelle entre la blonde (et ses dégradées) et la brune (et ses nuances), on peut citer la description populaire qui dépeint une palette entre le roux, le rouge et le feu …

Bon « la Rousse » (ou la « Rouquine ») est finalement la dénomination formelle du « poil de carotte » de mon enfance enfuie … Malgré cette fuite de jadis, je ne vois pas rouge !

Et puis, c’est une belle couleur, naturelle, que cette « rouquine » qui taquine coquine mes yeux qui s’enflamment à cette chevelure ignée, tant et si bien que  j’en reste parfois pantois, quasiment dans une transe hypnotique qui fait vibrer mon imagination tel un feu autoroutier « orange ».

Bigre, « rouquine » serait elle « sorcière », incube et succube, tentatrice de mon feu intérieur, aguichante et aguicheuse, bref le reflet de ma flamme qui grandit en sa présence ?

Fascination face à cette face aux taches faites de son sans sombritude ni appréhension répréhensible, juste une attirance qui n’est pas rance dans ce regard qui vient s’illuminer au travers de cette aura luminescente ô combien.

J’en bafouille comme disait mon pote l’écrivain, l’écrit vain, les cris vins …

La Rousse ..

Que de fantasmes cachés, « honteux », crépitent dans la braise de cette teinte sans demi-teinte qui embrase mon regard, qui vient lutiner mon esprit égaré dans le feu, follet, de cette parure hypnotique de mon imaginaire complexé de tant de flammèches qui font rissoler mes idées saugrenues, et plus nues que « saugre » …

Me voilà tel un « Parfait » lié à son bucher, ce qui est un comble (et non pas un grenier à grains, encore que « grains » …) pour un être se voulant détaché ….

Me voici tel un renard que cerne la meute de clébards bavant de l’envie de m’occire, alors que moi, oui moi je souhaite me perdre dans cette couleur qui chauffe mes sangs ….

J’en reste pantelant de l’immobilité quasi hypnotique qui me cloue sur place, tremblotant des frissons de mes songes éveillés qui se tordent comme les flammes par elle allumées ….

Mon imaginaire se consume de cette « rouquine » qui sourit, sûre d’elle-même, à travers les cascades brûlantes des ses mèches incandescentes.  Je me tords, je me tortille, je titube de cette souffrance de vouloir sans pouvoir au risque de me calciner.

La Rousse …

Celle de l’enfer des fers rougeoyant, celle qui jetait, naguère, des sorts et des braises sur les braies, celle au rire de perles de volcan et de geysers fumant.

Celle des sabbats et des imprécations silencieuses, celle des rondes et des circonvolutions abscondes, celle qui dévorait la vitalité des uns, des huns, parfois des autres aussi.

Celle qui se mire dans l’acier d’un miroir à peine sorti de la forge étouffante, celle qui danse sur le lit de cendres vivaces, celle qui rit de mon désarroi enfumé. 

La Rousse ….

Elle est là à glisser vers moi comme un Cobra sacré de l’Egypte, à fixer mon ombre pantelante sur le foyer qui me cuit le dos, à tendre les bras aux tâches simulant la signalétique menant à son cœur abrité par sa poitrine narquoise.

Elle est là à virevolter au travers de la buée de mon coup de chaleur, à détourner le fil noirci de mes attentes déçues encore, à braver l’envol de mes bras vers cette luminosité si dangereuse pour moi.

Je suis là, je suis las …

Pourtant, pourtant quel Charme évolue à la périphérie des mes envies, en bordure de mon désir, à la frontière de ma décence malmenée par tant et tant de signaux .. oranges, signes de dangers avant coureurs à  l’arrêt obligatoire de ma déchéance naturelle et inévitable.

La Rousse …..

Se mue soudainement en une vapeur enveloppante qui vient, avec tendresse, recouvrir mon corps, mon âme et mon esprit.

Levant les yeux vers l’infinitude de la voûte étoilée dont la voie lactée trace le chemin clignotant, avec une gratitude sans borne je distingue enfin, sous la cascade rousse, un regard tendre qui m’embrase maintenant.

Et j’aime.

Chris

octobre 6016

yeux-1-

 

Livres … septembre 6016 1 octobre, 2016

Posté par hiram3330 dans : Livre , ajouter un commentaire

Livres

Même ne sachant ni Lire, ni Écrire …

Ce mois ci j’ai épelé avec un grand plaisir, entr’autres :

Δ

le livre de  Bernard WERBER

 » LA VOIX DE LA TERRE « 

la voix de la terre

 Δ

le livre de  Umberto ECO

 » NUMÉRO ZÉRO « 

 Numero 0

Δ

le livre de  Daniel SANCHEZ PARDOS

 » BARCELONA « 

barcelona

Δ

le livre de Philip HERR

 » Les ombres de Katyn « 

ombres katyn

 

 

Livres ... septembre 6016 dans Livre Emoticons-plus.com-21

Chris

septembre 6016

Aldaria Final |
A demi -mot |
DES LETTRES ET DES MOTS |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | Aimé Comoé
| Les Poétiques Littérales
| Red Spirit