Sans titre, cent titres … 22 août, 2017
Posté par hiram3330 dans : Billevesees & coquecigrues , 1 commentaireSans titre, cent titres …
Oui le(s) titre(s) peut (peuvent) paraître énigmatique(s) ….. Et pourtant ainsi est la liberté de laisser l’esprit divaguer à sa guise, de laisser l’Esprit (peut être aussi) s’exprimer sans liens usuels de notre matérialité étouffante.
Me voici donc Libre de laisser errer sans but précis mes pensées, idées, sans aucune entrave, sans aucune voie tracée par autrui (enfin j’espère) pour aller là et là-bas, comme ici et maintenant.
Vagabondage sans but précis, sans but conscient, sans chemin déterminé (des terres minées) bref, pour faire court, réel sentier essentiel (essence ciel) pouvant me mener là où je dois aller sans user les semelles de mes espadrilles car je suis ce que je suis, je suis …
Alors penses-tu (comme un lad pansant son cheval) »qu’est que tu dis doudou !? »
Effets d’une canicule, conséquences d’un changement climatique, atteintes dues à l’âge qui chemine, résultats d’abus de produits frelatés … et j’en passe !
Que nenni point question !!
Il s’agit en fait de l’observation consciente de l’inconscient !!!
Que se soit « sans » ou « cent » c’est comme je le sens dans l’instant fugace qui fuit tel un pneu percé par un clou rouillé sur une chaussée au bitume décrépit par l’assaut incessant de seaux d’eaux polluées.
Ballades sur la « toile » où je trace des dépôts virtuels de pensées incongrues qui n’amusent que moi, enfin j’espère .. alors que des curieux, des voyeurs viennent espincher, mater l’enlacement des lettres de l’alphabet qui accouchent ainsi de phrases souventefois biscornues (bis-cornues) telles des diablotins ….
Déambulons donc sur ces milliards de pixels afin d’attirer le regard sur l’expression (ex-pression) de mes égarements dégoulinant de pensées confuses (con-fuse) où je me noie comme mille noix cherchant noise avant de devenir un gâteau aux noix de Grenoble !
Or donc je n’ai toujours pas de Titre (nobiliaires non plus) et par là même une centaine naissent et disparaissent en l’espace d’une microseconde évanescente. Belle réussite !
Dans le fond, à quoi sert un titre ? A quoi serre un titre ? Je te le demande à toi !
Si j’en crois, croît, croix les réminiscences de mes études (oui, oui, oui, au pluriel !) les ouvrages du passé, notamment ceux en latin possédaient des titres à rallonges, quasiment un résumé détaillé de l’œuvre elle-même. Curiosité de jadis.
Pour ma part, personnellement, moi-même je m’évertue (et pas petite la vertu) à condenser (con-danser) mes multiples pensées exprimées dans le feu d’artifices de mes écrits par une brève brièveté courte d’un mot, quelque fois deux mots, parfois trois mots, et pas gros les mots, mais guère plus sinon les dégâts …
C’est ainsi que du moindre mal le lecteur, planqué derrière son écran électronique, se doit de, sinon discerner, du moins de tenter de deviner l’incohérence des propos qu’il se propose de parcourir plus ou moins vite. C’est un choix, c’est son choix, et je n’hésite pas à dire : c’est du second choix !
Un « sans queue ni tête », ou inversement peut être …
Nous voilà et voici face à l’incohérence, la dichotomie, le fantasme enfoui du lecteur comme du scripteur, la curiosité fantasque qui est tienne, et la jubilation qui est mienne dans ce duel informatisé qu’il me plait à établir avec toi, l’inconnu(e), qui se gave de l’encre d’autrui.
Et tout cela, et tout ceci pour un titre qui n’en a que le nom !
J’hallucine …..
En « un mot comme en cent » ne devons nous point constater que la littérature (oui je sais là j’abuse du terme) n’est pas mathématique et … mais qui sait ?
Sans titre, cent titres … Est-ce vraiment important ?
Oui je te pose la question à toi, oui à toi qui dissimulé derrière ton écran lis, lit (allongé bien sûr !), li (unité de mesure chinoise) et qui aime à critiquer mais jamais à participer de quelconque façon.
Alors ? J’attends !
Tu te dégonfles lamentablement devant cette question anodine (et pas à moi) qui acidifie davantage les rares flocons d’une « pensée » aigrie et amaigrie.
J’ai pitié de toi … enfin, un peu.
Mais que m’importe (car j’exporte) les grimaces que tu caches dans l’antre sombre de ton réduit informatisé, je m’amuse à jouer avec les mots, les phrases, les termes, les concepts, les … lettres et les chiffres parfois, je me blinde !!!
Et toi tu te bouffes les ongles de dépit de n’y comprendre pouic !!!
Tu espérais peut être bouffonner en susurrant « le titre » à tes « amis » dans tes con-versations hautement intellectuelles où tu penses (ça c’est par compassion ..) étinceler .. certes, mais probablement pas par …..
Brisons là mon acrimonie envers un, oui un parmi tant d’autres, lecteur qui se gargarise d’un onanisme indécent ne prêtant (à un taux d’usurier) qu’à sourire de cette chancelante bougie en voie d’asphyxie.
Cool, zen et serein redeviens-je enfin …
J’ai hésité longuement, pendant au moins une poignée rachitique de secondes, sur le « chapeau » que je pourrai bien inventer pour protéger les lignes que je traces électroniquement, et que tu découvres ironiquement.
Alors, éclair (non pas au chocolat (hélas) de génie (sans enzymes) de ma part, ce qui ne m’étonne pas outre mesure … et hop pourquoi se fendre la calebasse à déceler un titre pompeux (tel un Shadock anémié) pour celer une logorrhée scriptique camouflant une brassée de pensées (et pas les fleurs !) confuses (pas cons-fuses) que j’assume pleinement, et même avec force et vigueur !
Au fait, « cent titres » n’a aucune corrélation avec la « révolutions maoïste des cent fleurs » … qu’on se le dise !
Je m’égare comme on dit à la Sncf, cet organisme qui veut vous faire croire qu’un retard de train-train est en définitive une avancée horaire et populaire.
Bon, alors voilà, que dire de plus par écrit, car mes paroles, issues de mes pensées, sont traduites par l’écrit (parfois les cris également) que tu dévores goulûment avec une rare volupté qui te rajeunit d’un demi (sans faux col) siècle : veinard ! Et même pas un seul, unique, minuscule, remerciement pour moi ….
Il me faut cesser maintenant ces errements hiératiques, ces contours biscornus, ces phrases incohérentes, bref en un mot comme en cent il va me falloir conclure ma recherche d’un titre pour enfin aller me reposer devant un grand verre d’antésite à l’anis, une énnnorme glace au chocolat et la satisfaction de t’avoir fait tirer la langue baveuse pour pas grand chose …
Et puis je vais pouvoir laisser errer mon regard vers la voie lactée nichée au sein de la voûte étoilée ou un regard pétillant m’accompagne toujours, et j’aime …
Chris
août 6017
Livre … juillet 2017 13 août, 2017
Posté par hiram3330 dans : Livre , ajouter un commentaireLivres
Même ne sachant ni Lire, ni Écrire …
Ce mois ci j’ai épelé avec un grand plaisir, entr’autres :
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le livre de GIACOMETTI & RAVENE
» L’EMPIRE DU GRAAL«
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le livre de James ROLLINS & Rebecca CANTRELL
» LE SANG DE L’ALLIANCE «
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le livre de Adrian DAWSON
» CRUCIFIX«
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le livre de Antoine TRACQUI
» MAUSOLEE «
Chris
juillet 6017
La course camarguaise 11 août, 2017
Posté par hiram3330 dans : Digressions , ajouter un commentaire
http://www.objectifgard.com/2017/07/31/gard-la-course-camarguaise-pour-les-nuls/
http://promessesdetaureaux.fr/le-taureau-cocardier/
http://promessesdetaureaux.fr/lapprentissage-de-course-camarguaise/