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Sky – Toccata (Video) + XAVER VARNUS PLAYS BACH’S TOCCATA & FUGUE IN THE BERLINER DOM + Johann Sebastian Bach ; Toccata & Fugue in Dm, by Sinfonity + J.S. Bach – Toccata and Fugue in D Minor BWV 565 // Amy Turk, Harp + Bach, Toccata and Fugue in D minor, organ + Deep Purple Beethoven meets Rock 1985 30 juin, 2022

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MICHEL-ANGE, LEONARD DE VINCI, RAPHAËL – UMA Universal Museum of Art 28 juin, 2022

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La Chine en Arctique : les coulisses d’une ambition | ARTE 27 juin, 2022

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Ce que la corrida vous cache d’horreurs ! 26 juin, 2022

Posté par hiram3330 dans : Apports , 1 commentaire

Ce que la corrida vous cache d’horreurs !

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En coulisse, on dit que le taureau est « préparé » avant d’entrer dans l’arène, afin de diminuer ses capacités physiques. Diverses techniques sont employées :

• Cornes sciées à vif entre 5 et 10 cm, le taureau étant alors enfermé dans un caisson dont seules les cornes dépassent. C’est ce qu’on appelle l’afeitado.

L’opération génère d’intenses souffrances pour l’animal. La physiologie de la corne est similaire à celle de la dent : c’est une matière vivante très innervée (riche en nerfs) et donc hypersensible. En termes de douleur, cette « intervention » reviendrait à nous scier une dent sans anesthésie, les nerfs à vif.

Cette amputation est encore plus ignoble quand elle s’accompagne de l’implantation d’un petit morceau de bois afin d’éviter au sang de gicler.

Pour le taureau, les cornes jouent en quelque sorte le rôle d’antennes pour se repérer dans l’espace. Si ce procédé occasionne une vive douleur qui dissuade l’animal de se servir de ses cornes, les raccourcir revient en outre, non seulement à lui ôter toute perception spatiale, mais aussi à le diminuer psychologiquement.

• Yeux enduits de vaseline pour désorienter l’animal.

• Narines dans lesquelles du coton est enfoncé et qui descend jusque dans la gorge dans le but de rendre plus difficile la respiration de l’animal.

• Pattes enduites d’essence de térébenthine qui lui procure des brûlures insupportables, dans le but de l’empêcher de rester tranquille.

• Testicules dans lesquelles on insère des aiguilles cassées dans le but de l’empêcher de s’asseoir ou de s’affaler.

• Échine et reins auxquels sont infligés des coups de pieds et de planches. Ces coups ne laissent aucune trace. Juste avant de rentrer dans l’arène, il peut arriver que l’on laisse tomber une trentaine de fois sur l’animal immobilisé des sacs de sable de 100 kg.

• Sabots limés, voire incisés dans lesquels on enfonce des coins de bois entre les onglons.

• Usage en dose massive de produits purgatifs (suppositoires au poivre), tranquillisants, hypnotisants, voire même de sprays paralysants (identiques à ceux utilisés par les forces de l’ordre et altérant la vue).

Dans l’arène,

Premier acte, le tercio de pique :

Perchés sur leur cheval, deux picadors enfoncent de longues piques (les puyas) jusqu’à 14 cm dans la peau afin de couper les muscles releveurs et extenseurs du cou, ainsi que les ligaments de la nuque.

Cette étape permet à la fois d’affaiblir l’animal et d’évaluer son comportement. En effet, le taureau ne peut plus bouger la tête, qu’il garde baissée lors des différentes passes et démonstrations.

Deuxième acte : le tercio de banderilles :

Arrivent en scène les banderilleros, ces personnes dont la mission est de planter dans le dos du taureau 3 paires de banderilles.

Les banderilles sont des tiges multicolores, munies d’un harpon de 5 à 6 centimètres de long, qui distraient le public par leurs couleurs vives et détournent la vision du sang, donnant un aspect festif à la corrida.

Le but inavouable de ce « jeu » est de faire évacuer le sang de l’animal pour l’empêcher d’avoir une hémorragie interne suite aux blessures infligées par la pique du picador. On s’assure ainsi que le taureau ne flanchera pas avant la fin du spectacle.

Troisième acte : le tercio de mort :

Place au matador qui commence par une faena, cette série de passes avec un drap rouge, pour finir par planter son épée dans le dos ensanglanté de l’animal. On dit qu’il porte l’estocade. Cela est censé constituer l’acte de mise à mort. Il dispose de 3 épées.

Mais la mise à mort se complique…

Car souvent, l’épée est mal plantée. Elle peut sortir par les flancs ou transpercer un poumon. Dans ce cas, l’animal vomit son sang et meurt asphyxié par une hémorragie interne.

Malgré cette torture, 1 fois sur 3 le taureau ne tombe pas à terre et reste debout, suffoquant de douleur.

Le matador poursuit alors la tuerie à l’aide d’une épée spécifique, le verdugo, plantée entre les deux cornes pour lacérer le cerveau et forcer l’animal à tomber à terre.

Mais il se peut que l’animal ne soit toujours pas mort.

Le coup de grâce est alors donné par l’un des assistants du matador qui lui plantera un poignard, appelé puntilla, dans la nuque, pour sectionner la moelle épinière.

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Ce geste peut lui aussi en cas d’échec être répété plusieurs fois.

Au terme de ce coup de grâce, le taureau, sous la douleur insoutenable, sera pris de convulsions incontrôlables puis sombrera peu à peu.

 

Un ...

 

merci Cathy pour ce partage

Digression … RÉINCARNATION 25 juin, 2022

Posté par hiram3330 dans : Digressions , ajouter un commentaire

(Reproductions autorisées avec mention de la source)

Poèmes de J.P. Inisan,
extraits de ses livres, 

et nouveaux textes inédits.

RÉINCARNATION
r 

Sans l’uniforme je me sens perdu
Et je ressens toujours ma blessure
Qui ne guérit pas sous mon armure
C’est celle de n’avoir rien vu
 

On m’a tiré une balle dans le dos
Et je m’en veux ce ne pas avoir senti la menace
Et surtout de ne pas avoir pu faire face
J’en ai toujours le cœur gros
 

Il venait d’arriver sur la position
Je ne le connaissais pas mais c’était un camarade
Il était arrivé un peu après l’embuscade
Et de la résistante j’avais déjà décidé l’exécution
 

Je l’avais abattue devant lui avec mon propre pistolet
En la regardant bien en face pour honorer son courage
Et ensuite j’avais brièvement fait son hommage
Et de cela il avait eu l’air choqué
 

Il m’a demandé si comme lui j’étais lieutenant
Alors j’ai appelé un officier parmi mes hommes
Celui qui était le moins autonome
Car je savais qu’il me répondrait : Oui mon commandant
 

C’est peu après quand je me suis éloigné
Qu’il m’a abattu par derrière
Par une traîtrise meurtrière
Sans doute parce qu’il s’était senti humilié
 

C’est une douleur qui me traverse toujours le corps
Du côté gauche de la poitrine
Elle me lancine et me mine
Surtout quand mon ressentiment est fort
 

Et que j’en ai accumulé longtemps sans réagir
Sans exprimer mes contrariétés ou même mes colères
Et mon attitude n’est alors pas très claire
Elle est comme l’empreinte d’un mauvais souvenir
 

Je ressens une vague mais très forte suspicion
Envers les autres je suis dans la méfiance
Je crains toujours une manœuvre déloyale
Quand une personne prétend me parler d’égale à égale
 

Quand une personne s’intéresse à moi
Intérieurement je me sens tout de suite à la dérive
Ma douleur à la poitrine devient vive
Mon cœur à mille à l’heure bat
 

Il s’emballe comme un train fou
Et c’est mon esprit qui déraille
Et ma confiance en moi qui défaille
Je crains un horrible piège et réagis comme un loup
 

Mais un loup qui aurait perdu son instinct
Un loup infirme et de bas étage
Qui enfermé dans une étroite cage
Voudrait pour se libérer devenir le plus servile des chiens
 

Je me sens prisonnier des jugements
Je me sens par les autres pris en otage
Je crains de leur donner de moi une piteuse image
Celle d’un animal sauvage ou d’un homme peu franc
 

C’est vrai qu’aujourd’hui j’ai pris un nouveau chemin
Mais de mon ancienne vie il reste une profonde trace
Et de ce mal je ne sais comment on se débarrasse
J’attends je ne sais quel événement ou signe du destin
 

En attendant je m’efforce de donner de moi le meilleur
Je mène une vie humble presque pieuse
Mais ce n’est pas une existence vraiment heureuse
Car je me ressens comme étant un usurpateur
 

Est-il aussi facile de paraître soudain vulnérable et désarmé
Il doit je pense y avoir un sas une phase transitoire
Comme une sorte de moderne purgatoire
Qui permet de se libérer progressivement de son passé
 

Quand on a fait de la violence sa profession
Peut-on être si vite pardonné de ses erreurs et de ses crimes
Et recevoir en plus l’amour et la sécurité en prime
Ne devrait-on pas plutôt subir la plus sévère des sanctions
 

Je ne comprends ni le comment ni le pourquoi
De cette résurrection sans conditions préalables
Sans connaissance de l’irréparable
Tout cela est tellement différent de moi
 

Mais c’est mon nouveau chemin
Et il va falloir que je change de nature
Que j’accepte ma faute ma blessure
Ça ne va pas se faire du jour au lendemain
 

Il y aura encore des moments de confusion
Mais je parviendrai un jour à séparer mes deux existences
Et à retrouver une efficace clairvoyance
Je donnerai aux autres autant qu’à moi toute mon attention

ÉCLATS DE MIROIRS, Éditeur : Edmond Chemin, août 2019.

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Ce Qu’il Faut Faire Pour Survivre à un Tsunami 24 juin, 2022

Posté par hiram3330 dans : Apports , ajouter un commentaire

 

 

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Le meilleur de Raymond Devos | Archive INA 23 juin, 2022

Posté par hiram3330 dans : Silhouettes , ajouter un commentaire

 

 

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