Billevesées et coquecigrues … La carotte, l’œuf et le café 8 décembre, 2023
Posté par hiram3330 dans : Billevesees & coquecigrues , ajouter un commentaireLa carotte, l’œuf et le café
Vous ne regarderez plus jamais une tasse de café de la même façon.
Une jeune femme va chez sa mère et lui dit que sa vie est tellement difficile qu’elle ne sait pas si elle peut continuer.
Elle veut abandonner, elle est fatiguée de se battre tout le temps. Il semble qu’aussitôt qu’un problème est réglé, un autre apparaît.
Sa mère l’amena dans la cuisine. Elle remplit trois chaudrons d’eau et les place chacun sur la cuisinière à feu élevé. Bientôt, l’eau commence à bouillir.
Dans le premier chaudron, elle place des carottes, dans le deuxième, elle met des œufs et dans le troisième, elle met des grains de café moulus.
Elle les laisse bouillir sur le feu sans dire un mot.
Après 20 minutes, elle retourne à la cuisinière. Elle sort les carottes et les place dans un bol. Elle sort les œufs et les place dans un bol. Puis, elle verse le café dans une carafe.
Se tournant vers sa fille, elle dit : « Dis-moi, que vois-tu? »
« Des carottes, des œufs et du café », répondit sa fille.
La femme l’amena plus près et lui demanda de toucher les carottes. La fille leur toucha et nota qu’elles étaient toutes molles et souples.
La mère lui demanda alors de prendre un œuf et de le briser. La fille enleva la coquille d’un œuf et observa qu’il était cuit dur.
Finalement, la mère lui demande de goûter au café. La fille sourit comme elle goûtait son arôme riche.
La fille demanda alors, « Qu’est-ce que ça veut dire maman? »
Sa mère lui expliqua que chaque objet avait fait face à la même eau bouillante, mais que chacun avait réagit différemment.
La carotte y est entrée forte, dure et solide. Mais après être passée dans l’eau bouillante, elle a ramolli et est devenue faible.
L’œuf était fragile avec l’intérieur fluide. Mais après être passé dans l’eau bouillante, son intérieur est devenu dur.
Quant aux grains de café, eux, ont réagi de façon unique. Après avoir été dans l’eau bouillante, ils ont changé l’eau.
« Lequel es-tu? », demanda la mère à sa fille. « Lorsque l’adversité frappe à ta porte, comment réponds-tu? Es-tu une carotte, un œuf ou un grain de café? »
Penses-y?
Suis-je la carotte qui semble forte, mais qui dans la douleur et l’adversité devient molle et perd sa force?
Suis-je un œuf qui commence avec un cœur malléable, mais change avec les problèmes? Ai-je un esprit fluide qui devient dur et inflexible dans la douleur?
Est-ce que ma coquille ne change pas, mais mon intérieur devient encore plus dur?
Ou suis-je comme un grain de café? Le grain change l’eau, il change la source de sa douleur. Lorsque l’eau devient chaude, il relâche sa fragrance et sa saveur. Si tu es comme un grain de café, tu deviens meilleure et change la situation autour de toi lorsque les choses en sont à leur pire.
Comment faites-vous face à l’adversité?
Comme une carotte, un œuf ou un grain de café?
Auteur inconnu
Pachelbel – Canon in D Major (Original Version) 7 décembre, 2023
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ÉLECTRON LIBRE 6 décembre, 2023
Posté par hiram3330 dans : Apports , ajouter un commentaireÉLECTRON LIBRE
(PARTIE I)
À tous ceux qui :
Pensent que la France est de culture exclusivement judéo-chrétienne ;
Voient en moi un immigré et non un Français, car basané et né à l’étranger, de surcroît au sud de la Méditerranée ;
Croient que tous les Arabes sont des musulmans ;
Confondent islam et islamisme ;
Considèrent que tout musulman est un terroriste potentiel, un kamikaze en sommeil ;
M’imaginent manier des lames sans états d’âme ;
Jouent avec les peurs en vomissant leur haine de l’autre ;
Je voudrais dire :
L’identité de la France, comme celle de chaque nation, est multiple, protéiforme. Au reste, affirmer que la France est de culture exclusivement chrétienne consiste à procéder à l’ablation de pans entiers de l’histoire de la nation française. La conversion de Clovis ne constitue pas le point de départ de l’histoire de France. Les mêmes qui clament que nos ancêtres étaient des Gaulois veulent effacer de notre histoire commune les Romains, les Goths, les Wisigoths, les Sarrasins, etc.
Oubliée la traite négrière ; oublié le Code noir ; oublié l’esclavagisme rétabli par Napoléon.
Oublié l’histoire de l’empire colonial. Oubliés les apports des populations conquises par les armes à la construction, la protection et la survie de la nation française.
Oublié Mont Cassino ; oubliés les tirailleurs africains ; oubliée la libération ; oubliée la reconstruction du pays au lendemain de la Seconde Guerre mondiale et tout au long des Trente glorieuses.
Oubliés les sportifs d’hier et d’aujourd’hui, héros éternels d’une jeunesse sans cesse renouvelée ; oubliés Marcel Cerdan, Just Fontaine, Alain Mimoun, Yannick Noah, Marie-Josée Pérec, Zinédine Zidane, Teddy Riner, Kylian Mbappé, etc.
Oubliés les intellectuels, oubliés Albert Camus, Kateb Yacine, Léopold Sédar Senghor, Aimé Césaire, Frantz Fanon, Amin Maalouf, Assia Djebbar, etc.
Oubliés ces artistes finalement si français ; oubliés Joséphine Baker, Yves Montand, Serge Gainsbourg, Charles Aznavour, Rachid Taha, Mc Solaar et tant d’autres encore.
Oubliés les combats menés précisément contre l’emprise de l’église chrétienne, plus particulièrement catholique.
Oubliées les batailles acharnées et ensanglantées livrées afin de s’affranchir du divin. Oubliés la Saint-Barthélemy, l’Édit de Nantes et sa révocation.
Oubliée la Révolution française pourtant si agnostique, voire athée.
Oublié l’esprit d’Hara-Kiri ; jetés aux oubliettes le professeur Choron, Siné et Gébé. Oubliés les slogans : « Je suis Charlie » ; oubliés les abonnements souscrits, aussitôt résiliés. Oubliés Charb, Tignous, Cabu et tous les autres.
Oubliées la liberté, l’égalité et la fraternité.
(PARTIE II)
Tous ceux qui :
Me qualifient d’apostat, de mécréant sans foi ;
Me considèrent comme un traître passé maître dans l’art du blasphème ;
Menacent de me faire la peau ici-bas et me promettent l’enfer là-haut ;
Pour me saluer usent des « Salam alikoum, frère ! »
Me questionnent en arabe : « A’nta maghribi ?! », « T’es marocain ?! »
Pendant le mois du Ramadan, me voyant, en pleine journée, une cigarette à la main, s’exclament : « L’allah ihdih ! », « Qu’Allah le ramène à la raison ! » ;
Sachez que, ici, en France, l’islam n’est pas religion d’État.
Je concède que ce concept soit quelque peu compliqué à appréhender pour des individus qui ont évolué toute leur vie dans un contexte social où le séculier et le profane se mélangent, ne font qu’un.
L’islam, à l’instar de toutes les religions monothéistes, a la prétention de vouloir gérer le quotidien des humains.
Pourtant, ici, en France, un principe s’impose à tous : la laïcité. Elle n’a nul besoin d’adjectif ; elle se suffit à elle-même ; car grâce à elle, nul ne peut imposer sa foi.
En France, la liberté de conscience est un droit et chacun est de libre de croire ou ne pas croire.
Bien plus, ici, aucun texte sacré, fût-il le Coran, n’est au-dessus des lois.
Depuis l’an 622, vous brandissez inlassablement les mêmes arguments : « Oui mais frère, l’homosexualité, la promiscuité avec les femmes, la consommation d’alcool, les rapports sexuels hors-mariage sont proscrits par Allah ! »
Certes ! Cependant, mille quatre cents ans plus tard, ne serait-il pas temps d’effectuer un aggiornamento de ces commandements édictés à une autre époque ?
À défaut, je ne puis que vous conseiller d’aller vivre en Iran, en Arabie saoudite, au Pakistan, en Afghanistan… Vous n’avez que l’embarras du choix.
Pour ma part, depuis plus de vingt ans, je n’ai que des relations hors-mariage. Quant à mes pratiques sexuelles, dès lors qu’elles ont lieu avec des adultes consentants, elles ne concernent que mes partenaires et moi.
Par ailleurs, bien que j’aime le thé à la menthe, je préfère le whisky. J’apprécie une tranche de saucisson et un verre de vin et tant pis pour les interdits du divin.
Enfin, je rappelle qu’ici, dans ce pays, même fiché, écouté, surveillé, je peux continuer d’écrire, de taguer et de chanter :
Ni Dieu, ni maître !
Ni Muhammad, ni Moïse, ni Jésus.
Alors pour l’éternité, un verre levé à la santé de l’anarchie !
SOURCE :
Sponsorisé · Financé par Youssef Jebri, Ecrivain
© Youssef Jebri, décembre 2023.
Satisfaction ..? 5 décembre, 2023
Posté par hiram3330 dans : Apports , ajouter un commentaire
« Le Sexe n’a jamais satisfait personne…
Il ne fait que créer plus d’insatisfaction.
Le sexe ne peut pas vous satisfaire.
Ne vous engagez dans une relation sexuelle que si vous avez de l’amour pour la personne, ainsi vous reliez le sexe à l’amour.
Et le cœur est un centre plus important et plus élevé que le centre sexuel.
C’est seulement quand le sexe est uni à l’amour qu’il peut se transformer en quelque chose de plus sacré et de plus satisfaisant.
Le sexe est la pénétration physique, une chose très superficielle.
La pénétration psychologique est l’Amour, ce qui est beaucoup plus profond, tellement plus signifiant, beaucoup plus beau, tellement plus humain.
Et il y a la troisième sorte de pénétration, quand deux consciences se rencontrent, fusionnent, et se fondent l’une dans l’autre.. »
Osho
SOURCE : le net ….
J.S. BACH: Invenzione a Due Voci No.8 (Ilario Schanzer – Piano) 4 décembre, 2023
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Digression … Leçon sur Jérusalem 3 décembre, 2023
Posté par hiram3330 dans : Digressions , ajouter un commentaire
Digression … « La quête de l’âme est un voyage sans distance, où la destination est déjà présente dans le cœur du chercheur. » 2 décembre, 2023
Posté par hiram3330 dans : Digressions , ajouter un commentaire« La quête de l’âme est un voyage sans distance, où la destination est déjà présente dans le cœur du chercheur. »
Cet adage reflète la perspective soufie selon laquelle le voyage spirituel est essentiellement une exploration intérieure. Il suggère que la vérité et la connaissance de Dieu ne se trouvent pas en cherchant loin, mais en se tournant profondément vers l’intérieur, en explorant et en comprenant son propre cœur et son âme. Cela met l’accent sur l’idée que la véritable illumination vient de la réalisation et de la reconnaissance de la présence divine déjà existante au sein de chaque individu.
« Dans la patience, l’âme trouve son rythme ; chaque instant d’attente est un pas de plus vers la sagesse éternelle. »
Cet adage reflète l’importance de la patience dans la pratique soufie. Il suggère que la patience n’est pas simplement une attente passive, mais une partie active du cheminement spirituel. Chaque moment de patience est vu comme une occasion de croissance et d’approfondissement de la compréhension spirituelle, menant progressivement à une plus grande sagesse.
« Plonge dans le silence de ton âme, car dans ce silence réside la mélodie de la vérité divine. »
Cet adage capture l’essence de la pratique soufie de la méditation et de la contemplation intérieure. Il souligne l’importance du silence et de la réflexion dans la quête spirituelle, suggérant que c’est dans le calme et la tranquillité intérieure que l’on peut entendre la ‘mélodie’ ou les enseignements de la vérité divine. Cela met en lumière la croyance soufie que la compréhension profonde et la connexion avec le Divin sont souvent trouvées dans les moments de calme introspection.
« Cherche la lumière non pas dans le monde extérieur, mais dans l’éclat caché de ton propre cœur. »
Cet adage reflète l’enseignement soufi de la recherche de la connaissance et de la vérité à l’intérieur de soi-même. Il suggère que la véritable illumination et sagesse ne se trouvent pas dans le monde matériel, mais dans la découverte et l’exploration de la lumière spirituelle qui réside dans le cœur de chaque individu. Cela met en valeur la croyance soufie que chaque personne porte en elle une étincelle de la lumière divine, et que la quête spirituelle consiste à découvrir et à cultiver cette lumière intérieure.
SOURCE : le net ….
