Digression … La grandeur des gens se mesure aux petits détails 30 avril, 2024
Posté par hiram3330 dans : Digressions , ajouter un commentaireLa grandeur des gens se mesure aux petits détails qui, dans un premier temps, n’attirent pas notre attention.
Ces petits détails moulent les gens dans de l’acier inoubliable, ce qui les rend uniques et exceptionnels.
Il ne s’agit pas de personnes qui n’ont peur de rien ou qui n’ont jamais commis d’erreurs, mais de personnes qui trouvent toujours les mots justes pour nous encourager, qui sont toujours prêtes à aider ceux qui en ont besoin, toujours à même d’avoir une bonne pensée, et de faire une bonne action.

Finalement, ce sont ces petits détails qui font la différence.
Elles ont conscience de la valeur de la vie et de celle du partage, et ne tiennent pas compte des absurdités de la société. Alors que d’autres vivent leur vie à toute vitesse,ces personnes-là prennent le temps de freiner un peu le rythme et de profiter de chaque moment.
Elles ne détruisent pas les autres avec leurs critiques ou autres perspectives d’avenir. Un des «petits détails» qu’elles mettent en pratique consiste donc à accepter inconditionnellement l’autre.
Non seulement ces personnes aiment le monde, mais elles le respectent, car elles en font partie.
La grandeur d’une personne se mesure aux petits détails
Il y a des moments inoubliables, des choses inexplicables, et des personnes incomparables.
Grâce à leur grande sensibilité, ces personnes prennent soin d’elles-mêmes, mais aussi des autres. Elles ont une grande capacité à ressentir de l’empathie, à attirer l’attention des autres, à protéger les autres et à lutter contre leurs émotions. C’est ce qui les rend grandes et belles.
Non pas qu’elles se caractérisent par une joie infinie et contagieuse, mais leur façon d’être leur permet de mieux comprendre comment le monde fonctionne.
C’est pourquoi elles sont toujours là pour écouter, comprendre et espérer… Des qualités dont le commun des mortels ne dispose pas forcément.
Tout au long de notre vie, on s’obstine à accélérer, accélérer, et accélérer encore. Mais,à quoi cela nous sert-il d’avoir quelques minutes d’avance si c’est pour aborder notre destin dans un grand état de fatigue, et si on oublie que ce sont les petites choses qui font de nous de grandes personnes ?
Les belles personnes sont rares ; elles ne se distinguent pas par leur visage, mais par leur âme. Ce sont des personnes courageuses, des personnes simples de l’intérieur comme de l’extérieur, des personnes qui vivent sérieusement leurs sentiments et qui accordent autant d’importance aux leurs qu’à ceux des autres.
Les petits détails qui nous rendent grands
Nous sommes tous uniques…cependant, être grand ET unique, est plus rare. Ce sont les petits détails qui font les grands moments, les grands traits et les grandes personnes.
On a tendance à l’oublier, mais il n’est pas si compliqué de faire en sorte que quelqu’un se sente spécial.
Voici quelques conseils qui vous y aideront:
• Dites toujours bonjour ou bonsoir. Ces deux mots si simples traduisent un grand respect, envers soi, mais aussi envers les autres. Quelqu’un qui vous souhaite le meilleur qui puisse vous arriver dans la journée, c’est un privilège.
• Ne manifestez pas un bonheur hypocrite. On ne doit pas être joyeux uniquement sous prétexte qu’on entend souvent dire qu’il faut toujours l’être, mais on doit plutôt accepter les émotions et autres sentiments qui règnent en nous à chaque moment de notre vie.
• Ne respectez pas seulement vos propres émotions, mais aussi celles des autres. C’est très important. Pensez à toutes ces fois où quelqu’un a voulu vous donner du courage un peu maladroitement, et à toutes ces fois où on vous a annoncé une nouvelle sans vous y préparer préalablement, et donc sans penser aux conséquences.
On doit faire attention à nos émotions, et les accompagner comme il se doit, au rythme de leur mélodie.
• Les sourires qu’on nous adresse, les mots qu’on emploie quand on nous parle, les caresses qu’on nous fait et les déclarations d’amour que l’on nous susurre au creux de l’oreille; toutes ces choses qui nous font nous sentir unique aux yeux de l’autre.
De même que les personnes toxiques sont très fortes dès lors qu’il s’agit de gâcher votre journée, les personnes géniales, elles, vous adressent des sourires, ce qui peut embellir votre journée.
Finalement, ce qui rend quelqu’un inoubliable, c’est sa capacité à nous faire sentir que l’on est différent.
La grandeur des personnes ne se mesure pas à leur argent, à leurs études ou à leur beauté.Leur profondeur se mesure à la loyauté de leur cœur et l’humilité de leur âme.
Et, même si parfois la vie vous sépare de ces personnes, elles ont fait de vous une personne meilleure…et ça, c’est éternel.
Évidemment, cet article traite de choses communes. Pour autant, ne doutez pas du fait que c’est à ces petits détails de la vie que l’on reconnait les grandes personnes.
SOURCE : nospensees.com
L’ESCALIER… 29 avril, 2024
Posté par hiram3330 dans : Apports , ajouter un commentaireL’ESCALIER…
C’est comme si on demandait s’il est possible de monter au deuxième étage malgré les marches. Alors que ce n’est pas malgré mais grâce à l’escalier qu’on peut monter au deuxième.Je sais que vous pensez à une échappatoire, mais dans la vie, il n’y a pas d’ascenseur! On monte marche par marche avec ses propres pieds et aucune technologie ne peut nous remplacer. Il n’y a pas de raccourci. On ne saute pas d’étape. On ne peut aller plus vite que la musique, que sa musique.Vivre, c’est passer consciemment par chaque instant, c’est remplir avec application chaque petit événement qui se présente, avec grand soin, avec respect même, afin que rien ne soit perdu.
Comme on goûterait un beaujolais nouveau en prenant soin de n’en perdre aucune goutte. Savourer le moindre instant, goûter la moindre chose, sentir le moindre parfum, jouir de la présence de chaque personne, éprouver la moindre peur, ressentir la plus infime douleur, apprécier chaque syllabe du chant, chaque goutte de cette immense fontaine de joie et de peine qu’est l’arbre de vie.
Tout nous fait progresser dans la mesure où l’on vit pleinement, en l’acceptant. Tout nous sert à progresser. Il n’y a pas de rôle, d’occupations privilégiées. Seule l’intensité de l’amour tendresse remplit de sens et fait monter. (Allez demander à l’étoile olympique ce qui lui donne cette incessante et tenace application à chaque jour de son long et difficile entraînement!)
Le bateau ne peut passer l’écluse avant que le niveau d’eau requis ne soit atteint. C’est l’intensité de l’amour qui fait monter l’eau et permet au bateau d’accéder à la chambre suivante. C’est l’intense amour de la lumière qui fait que la tendre pousse perce petit à petit l’asphalte.
Cette notion est sans romantisme. Ce n’est pas romantique de se lever à 6 heures pour aller travailler quand on est grippé ; ce n’est pas romantique de sortir les vidanges quand il fait moins 25 ; et sûrement pas de prendre le métro aux heures de pointe, de faire la queue pour l’autobus qui n’arrive pas, de tomber en panne, d’avoir une crevaison, de perdre sa nuit pour un bébé qui pleure, de voir la maisonnée terrassée par la fièvre, de recevoir les comptes, de remplir ses impôts, de faire les emplettes, de laver sa vaisselle, son linge ou son plancher. Mais la vie n’est pas romantique. Le romantisme est du »wishful thinking » ; c’est rêver à ce qui n’existe pas.
La vie des films et des téléromans nous donne l’impression que la vie doit être plus intéressante, que l’on a dû manquer quelque chose quelque part, qu’il doit y avoir quelque chose qu’on n’a pas fait comme il faut et à cause de quoi on mène une vie si plate. A cause de cela, on rêve d’une vie romantique où tout serait agréable, gentil, plaisant. Et on continue de chercher jusqu’à ce qu’on ait trouvé cette fameuse chose qui ferait passer miraculeusement du blanc et noir à la couleur.
Mais c’est moi qui aplatis ma vie. C’est moi qui ne savoure pas les instants, si bien qu’il n’y a que des vides dans ma vie avec quelques fuyantes et furieuses compensations à la taverne, au party ou au disco.
C’est moi qui attends que ma vie soit valorisée par quelque chose. Quelque chose qui viendrait comme une fée ou un maître de cirque transformer d’un coup de baguette tout cet ennui en une aventure exaltante, pour enfin vivre une vie qui serait une suite continue de moments forts. Il n’y a que moi qui puisse transformer ma vie. C’est à moi d’accepter les instants que je vis. En les refusant, c’est moi qui leur enlève toute valeur. En les acceptant, je les remplis de moi, de ma valeur, de ma réalité. Je vis une aventure unique au monde, un mélange de joies et de peines que je suis le seul à connaître. J’habite ma vie. Je ne suis pas ailleurs, absent, comme marchant à côté de ma bicyclette.
Accepter le quotidien est pour chacun la chose la plus difficile. On ne veut pas vivre sa vie, on veut vivre une vie différente, celle qu’on a rêvée ou celle des autres (la partie qui nous séduit, bien sûr, pas leur vie quotidienne, qu’on s’arrange pour oublier ou nier).
Mais on ne progresse qu’en remplissant d’une présence attentive ses petits moments sans histoire.
Lorsqu’on accepte de vivre chacun de ses instants, sans attendre autre chose, on bâtit une plénitude que rien ne peut attaquer. C’est alors que dans notre vie, rien ne se perd, qu’au contraire, tout se crée.
SOURCE : www.terrenouvelle.ca – Terre Nouvelle – Portail vers la Spiritualité
Digression … La Linea – Eroslinea et La Linea – EROSLINEA by Osvaldo 28 avril, 2024
Posté par hiram3330 dans : Digressions , ajouter un commentaire
LES DEUX JARRES … ET LE PORTEUR D’EAU 27 avril, 2024
Posté par hiram3330 dans : Silhouettes , ajouter un commentaireLES DEUX JARRES…ET LE PORTEUR D’EAU
Ce conte est une belle réflexions sur le fait de savoir s’accepter et accepter les autres tels qu’ils sont… Et voir ce qu’il y a de bien et de bon en chacun !
Un porteur d’eau indien avait deux grandes jarres, suspendues aux 2 extrémités d’une pièce de bois qui épousait la forme de ses épaules.
L’une des jarres avait un éclat, et, alors que l’autre jarre conservait parfaitement toute son eau de source jusqu’à la maison du maître, l’autre jarre perdait presque la moitié de sa précieuse cargaison en cours de route.
Cela dura 2 ans, pendant lesquels, chaque jour, le porteur d’eau ne livrait qu’une jarre et demi d’eau à chacun de ses voyages.
Bien sûr, la jarre parfaite était fière d’elle, puisqu’elle parvenait à remplir sa fonction du début à la fin sans faille.
Mais la jarre abîmée avait honte de son imperfection et se sentait déprimée parce qu’elle ne parvenait à accomplir que la moitié de ce dont elle était censée être capable.
Au bout de 2 ans de ce qu’elle considérait comme un échec permanent, la jarre endommagée s’adressa au porteur d’eau, au moment où celui-ci la remplissait à la source.
« Je me sens coupable, et je te prie de m’excuser. »
« Pourquoi ? » demanda le porteur d’eau. « De quoi as-tu honte ? »
« Je n’ai réussi qu’à porter la moitié de ma cargaison d’eau à notre maître, pendant ces 2 ans, à cause de cet éclat qui fait fuir l’eau. Par ma faute, tu fais tous ces efforts, et, à la fin, tu ne livres à notre maître que la moitié de l’eau. Tu n’obtiens pas la reconnaissance complète de tes efforts », lui dit la jarre abîmée.
Le porteur d’eau fut touché par cette confession, et, plein de compassion, répondit: « Pendant que nous retournons à la maison du maître, je veux que tu regardes les fleurs magnifiques qu’il y a au bord du chemin ».
Au fur et à mesure de leur montée sur le chemin, au long de la colline, la vieille jarre vit de magnifiques fleurs baignées de soleil sur les bords du chemin, et cela lui mit du baume au cœur. Mais à la fin du parcours, elle se sentait toujours aussi mal parce qu’elle avait encore perdu la moitié de son eau.
Le porteur d’eau dit à la jarre « T’es-tu rendu compte qu’il n’y avait de belles fleurs que de TON côté, et presque aucune du côté de la jarre parfaite ? C’est parce que j’ai toujours su que tu perdais de l’eau, et j’en ai tiré parti.
J’ai planté des semences de fleurs de ton coté du chemin, et, chaque jour, tu les as arrosées tout au long du chemin. Pendant 2 ans, j’ai pu grâce à toi cueillir de magnifiques fleurs qui ont décoré la table du maître. Sans toi, jamais je n’aurais pu trouver des fleurs aussi fraîches et gracieuses. »
SOURCE : le net ….
Le Maître du silence 26 avril, 2024
Posté par hiram3330 dans : Silhouettes , ajouter un commentaireLe Maître du silence
D’après un conte Zen
Il y eut jadis au pays de Chine un moine zen qui se faisait appeler « le Maître du silence ».
En réalité, ce religieux était un charlatan, un imposteur, qui avait imaginé ce subterfuge pour vivre confortablement des aumônes que les villageois lui apportaient.
Il recevait seulement les jours impairs, commodément installé sur des coussins de soie, et se contentait de garder un silence obstiné.
Deux compères préchaient à sa place.
Or, un matin, un moine pèlerin attiré par la réputation du Maître du silence se présenta au couvent.
Ce n’était pas un jour de visite, et les deux acolytes interprètes étaient absents.
Le pèlerin aborda le maitre et l’interrogea :
« Maître du silence, éclairez-moi : qu’est-ce que le Bouddha ? »
Ne sachant que faire, le pseudo-maître regarda nerveusement à droite et à gauche, cherchant vainement ses complices habituels.
Le pèlerin, apparemment satisfait inclina la tête et demanda :
« Ô Maître du silence, éclairez-moi qu’est-ce que le dharma ? »
De plus en plus embarrassé, le charlatan leva les yeux au ciel pour chercher une vaine inspiration, puis les baissa vers le sol, découragé.
Le pèlerin inclina la tête avec respect et dit encore :
« Ô Maître du silence, permettez-moi une dernière question : qu’est-ce que la grâce ? »
Le soi-disant maître écarta les bras en signe de totale impuissance.
Le moine pèlerin salua trois fois, et se retira.
Sur le chemin du retour, il croisa deux moines qui se dirigeaient vers le monastère
« Mes frères ! s’écria-t-il. Vous allez sans doute présenter vos devoirs au Maître du silence ?
Euh !… oui, firent les moines, surpris et un peu inquiets.
Ah ! quel puits de sagesse ! s’exclama le pèlerin.
Au cours de mes nombreux voyages, je n’ai jamais rencontré son égal. Jugez-en.
Comme je lui demandai « Qu’est-ce que le Bouddha ? », il s’est tourne vers l’est et vers l’ouest me signifiant par là que les hommes cherchent le Bouddha dans toutes les directions, partout où il n’est pas.
Je l’interrogeai ensuite sur le dharma.
Il me répondit en levant les yeux au ciel, puis en les baissant vers le sol, me faisant comprendre que le dharma n’établit aucune distinction entre le riche et le pauvre,
le puissant et le misérable, que le dharma est égal pour tous.
Enfin, quand je le questionnais sur la grâce, il écarta les bras, les mains grandes ouvertes.
La grâce en effet est une bénédiction, qui est distribuée généreusement aux hommes pour les guider sur le chemin de la vie.
Mes frères, quel grand sage, ce Maitre du silence ! «
Source: Anonyme…www.lespasseurs.com
Charles Aznavour – ILS SONT TOMBÉS 25 avril, 2024
Posté par hiram3330 dans : Apports , ajouter un commentaire
Michel Berger – Vivre (Lyric Vidéo) 24 avril, 2024
Posté par hiram3330 dans : Silhouettes , ajouter un commentaire